Un Soir d’été
Un dragon dans les prés
Admire le soleil
Qui luit comme une merveille
Il le regarde sans ciller
Dans les bruits du pré
Qui se répètent dans le lointain
Comme le futur lendemain
Il pourrait rester là toute la nuit
A observer sans ennuis
la lumière chantante
De la nuit tombante
Puis enfin
Il s’en va
Il part dans le lointain
Rejoindre ce soleil là
Vu les dates de tes articles, je commence par la fin …
Bien celui là =)
“Il ‘en va” tu as oublié le “s”.
N’as tu pas été dans une périole mélancolique en écrivant ce poème ?
On sens une telle tristesse… Ne serait-ce pas Toi le Dragon, ici…?
J’aime bien celui-là. Je le trouve plus profond que les derniers.
(Mmmh, j’ai eu les réponse à mes questions.).
Enfin, je le trouve superbe, tout simplement.